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Le C.G.O.S a déployé des mesures exceptionnelles de soutien aux hospitaliers de Mayotte !

À la suite du passage du cyclone Chido qui a provoqué des dégâts d'une grande ampleur à Mayotte, le C.G.O.S a déployé des mesures exceptionnelles pour aider les hospitaliers mahorais à affronter ces épreuves difficiles. Dès le 27 décembre, plus de 3 millions d’euros leur étaient versés.
Afin d’agir rapidement et de répondre aux besoins d’urgence des agents de Mayotte, les membres du Bureau national du C.G.O.S ont voté plusieurs mesures, pour un coût total de 3 100 000 euros. Ces aides exceptionnelles ont été versées dès le 27 décembre :
- Une aide de 1 000 € à chacun des 3 000 agents non médicaux du CH Mayotte, sous la forme d’une aide exceptionnelle non remboursable pour soulager leurs difficultés immédiates. Cette aide est financée à 80 % par le budget national et 20 % à l’échelon régional par le Comité Régional Île-de-France et Outre-mer. Le service RH du CH Mayotte a accompagné le C.G.O.S dans sa démarche afin de garantir à tous ses agents la bonne réception de cette aide.
- Une aide directe de 100 000 € au CH Mayotte, destinée à financer les actions qui seront mises en place en direction des agents de l’établissement. La nature et la finalité de ces actions devront être soumises à l’avis préalable du CSE et devront faire l’objet d’un retour d’informations sur l’emploi de ces sommes par l’établissement. L’enveloppe destinée à cette aide est financée à hauteur de 75 % par le budget national et 25 % par le Comité Régional Île-de-France et Outre-mer.
En complément, il a été rappelé aux agents mahorais leur possibilité de soumettre au C.G.O.S Île-de-France et Outre-mer une demande individuelle d’aide exceptionnelle non remboursable dans le cadre habituel. Ces aides seront examinées souverainement par la Commission des aides et secours de la région, eu égard aux motivations, aux situations individuelles et économiques des agents, et tenant compte du premier niveau d’aide déjà consentie.
Le C.G.O.S et ses équipes, au plan national comme au plan de la région Île-de-France et Outre-mer, restent mobilisés dans ces moments difficiles. Le C.G.O.S se devait d’être rapidement présent auprès de ces agents qui vivaient des moments douloureux.
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